les puces
Les puces, effectivement plus nombreuses et plus visibles du printemps à l'automne, sont souvent considérées comme des parasites saisonniers. On ne les imagine pas survivre à des températures basses. Pourtant, beaucoup de propriétaires sont surpris d'en trouver dans le pelage de leur chat en plein hiver ! Nos habitations sont un lieu privilégié de développement pour ces insectes : ils ont "le gîte et le couvert", chauffage compris ! Pendant que les adultes séjournent sur leur hôte (chien, chat, lapin furet ...) en se nourrissant de son sang, les oeufs puis les larves de puce se développent dans les tapis, les moquettes, les canapés, le parquet, les plinthes de nos intérieurs, grâce à une température et une hygrométrie favorables.
Quelques puces introduites dans un appartement où vit un chat suffisent à coloniser très vite l'intérieur. Cet insecte est capable de pondre plus de 500 oeufs au cours de ses 2 à 3 semaines d'existence dans le pelage ! Si votre compagnon ne sort pas, c'est vous qui pouvez rapporter des oeufs sur vos semelles ou même des puces sur vos vêtements ! La venue d'un chien est une source possible de contamination, puisqu'il partage avec le chat les mêmes puces. Enfin, lors d'un week-end ou au moment des vacances, votre félin peut aller dans un lieu parasité et ramener des puces chez vous.
Beaucoup croient qu'il existe deux types de puces : les puces des animaux et les puces de parquet. Ces "puces de parquet" ne sont autres que des puces de chat ayant survécu dans leur cocon pendant l'absence de leur hôte.
La puce est un parasite hématophage : elle se nourrit du sang de son hôte. Sa piqûre et la salive qu'elle injecte dans le derme sont irritantes et entraînent des démangeaisons. Pour beaucoup de propriétaires de chat, le grattage est le signe d'une infestation par les puces. Par conséquent, ils ne traitent pas leur animal tant qu'il ne se gratte pas. Erreur ! D'abord, parce que certains animaux ont un seuil de tolérance élevé aux piqûres d'insectes et supportent très bien quelques puces dans leur pelage (certains chats font des allergies aux piqûres de puces cela se traduit par des dépilations diffuses ou localisées, des petites croûtes sur le dos et le cou, des plaies de grattage ou de léchage...) Ensuite, parce que le chat se lèche plus qu'il ne se gratte quand il attrape des puces. Sa langue est une véritable râpe pourvue de papilles cornées dirigées vers l'arrière. Elle calme les démangeaisons, lisse le pelage et récupère même les parasites. Le toilettage joue un rôle non négligeable dans l'élimination des puces. Les vétérinaires ont d'ailleurs coutume de dire que l'endroit chez le chat où est concentré le plus grand nombre de puces est ... l'estomac.
Traitez régulièrement et toute l'année tous les animaux de la maison avec des antiparasitaires à la fois efficaces, rémanents et non toxiques.
Traitez votre intérieur au printemps et à l'automne.
Aprés une période d'infestation de puces, vermifugez chiens et chats avec un produit efficace contre le téna Dipylidium caninum. En effet, l'animal se contamine en ingérant une puce elle-même parasitée par ce ver intestinal.
Quelques puces introduites dans un appartement où vit un chat suffisent à coloniser très vite l'intérieur. Cet insecte est capable de pondre plus de 500 oeufs au cours de ses 2 à 3 semaines d'existence dans le pelage ! Si votre compagnon ne sort pas, c'est vous qui pouvez rapporter des oeufs sur vos semelles ou même des puces sur vos vêtements ! La venue d'un chien est une source possible de contamination, puisqu'il partage avec le chat les mêmes puces. Enfin, lors d'un week-end ou au moment des vacances, votre félin peut aller dans un lieu parasité et ramener des puces chez vous.
Beaucoup croient qu'il existe deux types de puces : les puces des animaux et les puces de parquet. Ces "puces de parquet" ne sont autres que des puces de chat ayant survécu dans leur cocon pendant l'absence de leur hôte.
La puce est un parasite hématophage : elle se nourrit du sang de son hôte. Sa piqûre et la salive qu'elle injecte dans le derme sont irritantes et entraînent des démangeaisons. Pour beaucoup de propriétaires de chat, le grattage est le signe d'une infestation par les puces. Par conséquent, ils ne traitent pas leur animal tant qu'il ne se gratte pas. Erreur ! D'abord, parce que certains animaux ont un seuil de tolérance élevé aux piqûres d'insectes et supportent très bien quelques puces dans leur pelage (certains chats font des allergies aux piqûres de puces cela se traduit par des dépilations diffuses ou localisées, des petites croûtes sur le dos et le cou, des plaies de grattage ou de léchage...) Ensuite, parce que le chat se lèche plus qu'il ne se gratte quand il attrape des puces. Sa langue est une véritable râpe pourvue de papilles cornées dirigées vers l'arrière. Elle calme les démangeaisons, lisse le pelage et récupère même les parasites. Le toilettage joue un rôle non négligeable dans l'élimination des puces. Les vétérinaires ont d'ailleurs coutume de dire que l'endroit chez le chat où est concentré le plus grand nombre de puces est ... l'estomac.
Traitez régulièrement et toute l'année tous les animaux de la maison avec des antiparasitaires à la fois efficaces, rémanents et non toxiques.
Traitez votre intérieur au printemps et à l'automne.
Aprés une période d'infestation de puces, vermifugez chiens et chats avec un produit efficace contre le téna Dipylidium caninum. En effet, l'animal se contamine en ingérant une puce elle-même parasitée par ce ver intestinal.